jeudi 29 octobre, Aula du Palais de Rumine, 19h
« Une actrice doit avoir le diable au corps. Certes, une actrice-chanteuse n’a pas besoin d’un diable aussi furieux qu’une tragédienne du théâtre parlé ; un bon diable lui suffit ; mais il lui en faut un tout de même. »
Lo Spettatore, 1814
Que font, sur la scène lyrique de leur époque, des artistes telles que Virginia Andreini, Sophie Arnoud, Giuditta Pasta, Maria Malibran ou, plus récemment, Maria Callas ? Comment la critique perçoit-elle leurs pratiques scéniques ? Comment décrire l’émotion que le public éprouve à les regarder ? Pour en retrouver la trace, nous croiserons récits de spectateurs, sources littéraires, journalistiques et iconographiques, afin de retracer l’évolution du statut artistique et social de l’actrice-chanteuse à travers le temps.
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