dimanche 6 novembre, Église St-Laurent, 17h
Contrapunctus I
Contrapunctus II
Contrapunctus III
Contrapunctus IV
Contrapunctus V
Contrapunctus VI « a 4, in Stylo Francese »
Contrapunctus VII « a 4, per Augmentationem et Diminutionem »
Contrapunctus VIII « a 3 »
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Contrapunctus IX « a 4, alla Duodecima »
Contrapunctus X « a 4, alla Decima »
Contrapunctus XI « a 4 »
Contrapunctus XII « a 4 (Rectus) »
Contrapunctus XII« a 4 (Inversus) »
Contrapunctus « a 3 (Rectus) »
Fuga a 2 Clav. (Inversus del Contrapunctus a 3)
Canon per Augmentationem in Contrario Motu
Canon in Hypodiapason
Canon alla Decima, Contrappunto alla Terza
Canon alla Duodecima, in Contrappunto alla Quinta
Fuga a 3 Soggetti
Une question demeure, jamais tranchée de manière définitive : L’Art de la fugue est-il destiné à un clavier (de préférence le clavecin, comme certains l’ont soutenu), ou tout au contraire à un ensemble d’instruments – son auteur n’ayant pas laissé la moindre indication, lesquels ? Même, quelques-uns ne sont pas loin de prétendre qu’il s’agit de musique pure, « abstraite », réservée à la lecture de quelques rares initiés ! Pas du tout, répond le claveciniste Ottavio Dantone, lequel a repris en 2012 la direction artistique et musicale de la superlative Accademia Bizantina. Outre qu’il est un véritable tour de force d’écriture, L’Art de la fugue a en revanche tout à gagner à s’incarner dans une version à plusieurs interprètes qui permette à l’auditeur de goûter pleinement ce puissant chef-d’œuvre d’un Bach à son sommet. Ici, la qualité des concertistes est gage d’une soirée forte, inoubliable.
© images | Ottavio Dantone: Giulia Papetti; Accademia Bizantina: Giulia Papetti
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